PRESSE PARADISIAQUE #3

Ca c'est signé France Dimanche. Ils sont spécialistes du genre (pas qu'avec Vanessa, tout le monde y a le droit), je crois qu'il vaut mieux l'ignorer.

J'aime les photos postées par Marina, surtout celle où elle porte des colants blancs. Pas mal Vanessa en mode "lampe de chevet".

Merci Marina !

Voici une photo de l'article du France Dimanche. J'ai réussi à le voler à mon arrière-grand-mère qui y est abonnée la pauvre.  

Merci à Grand-Mamy Pirategirl !

Merci !


Il existe des vrais gens abonnés à France Dimanche !  

Des pauvres mamies de 90 ans qui n'ont que ça à faire. Il faut être compréhensifs.

Haha tu m'as tuée Cheeky xD

Bien sûr qu'il y en a et plus que tu ne crois !

ICI LONDRES - Juillet 2013


Pourquoi avoir attendu six ans depuis votre dernier album ?
J’ai fait des films, une tournée acoustique… Et puis c’est un privilège de pouvoir prendre le temps de préparer son disque.

Vous avez fait appel à de nombreux artistes et pourtant il y a une certaine fluidité. Est-ce dû à votre sélection ou aux arrangements de Biolay ?
C’est dû aux arrangements, à la production du disque, les mêmes instruments qu’on retrouve sur plusieurs chansons, le même ingénieur du son, l’ordre des chansons… c’est un long travail. Après le point commun c’est que ce sont des chansons d’amour. Les différents auteurs et compositeurs ne m’ont envoyé que ça ou, en tout cas, les chansons les plus fortes et les plus belles étaient des chansons d’amour.

Il n’y a pas de chansons écrites par des femmes…
Il y en a certaines écrites par moi et une écrite par une femme, en anglais. Mais ce n’est pas du tout délibéré, j’ai choisi ni homme ni femme, ni des gens connus ou pas connus, c’était vraiment les chansons qui ont parlé. Au cinéma je ne tourne qu’avec des femmes, je n’ai aucun problème avec elles, bien au contraire.

Vous avez réalisé une seule chanson. Vous n’avez pas envie d’écrire davantage ?
C’est ce que j’ai pu faire de mieux pour celui-là (rires). J’avais d’autres chansons mais qui étaient moins bonnes que celles qu’on me proposait. Le rêve, ça serait de les écrire toutes moi-même, je trouve admirable l’artiste qui se produit sur scène et chante des chansons entièrement composées et écrites par lui-même mais je n’ai pas ce talent, en tout cas je suis tellement bien servie par les autres que c’est ça qui compte le plus.

Votre dernière tournée acoustique marquait un retour vers quelque chose d’épuré. Comment sera la tournée qui débute en octobre ?
J’y réfléchis, pour l’instant ce n’est pas très clair ; ce sera forcément quelque chose de très simple, qui tourne autour de la musique. Le choix des chansons n’est pas encore fait mais je tiens toujours à chanter les anciennes chansons, ça me fait plaisir, ça fait plaisir aux gens. Je ne fais pas de spectacle grandiloquent avec beaucoup de mise en scène. C’est plutôt la proximité et l’intimité qui m’importent.

Joe le Taxi a été Top 3 en Angleterre, ce qui n’était pas arrivé depuis Je t’aime moi non plus. Que cela vous évoque-t-il ?
Ça me fait très plaisir, mais c’était il y a 25 ans ! Je suis toujours très fière, à 14 ans je me suis retrouvée à l’émission Top of the Pops, à faire mes premières interviews en anglais catastrophiques, je ne parlais pas très bien anglais. Cette chanson m’a fait beaucoup voyager, c’est extraordinaire à un si jeune âge.

Vous chantez en duo en anglais avec Carl Barat. Pourriez-vous refaire un album en anglais ?
Tout est possible. J’adore chanter en anglais, mais en français aussi. La fois où je l’avais fait, c’était il y a très longtemps et c’était au départ un désir de la maison de disques. L’idée m’avait plu donc j’avais foncé. Mais j’aime bien que ce soit la musique qui prenne les décisions en non un plan.

Aura-t-on la chance de vous voir à Londres ?
J’adorerais revenir, la dernière fois j’ai eu la chance de jouer dans cette salle super, le KOKO, et c’est un très bon souvenir. J’imagine que ce sera plutôt au printemps.

Est-ce vrai que l’on vous verra bientôt à l’écran du nouveau John Turturro au côté de Woody Allen ou Sharon Stone ?
Oui, on a tourné ça à l’automne dernier à New York, c’était fabuleux d’être dirigée par un acteur et metteur en scène comme John Torturro et de donner la réplique à Woody Allen. Un rêve éveillé, en plein Manhattan, à Brooklyn et dans la banlieue new-yorkaise…

Propos recueillis par Amandine jean


Petites questions londoniennes
Quels rapports entretenez-vous avez Londres ?
Je ne viens pas très souvent, surtout pour le travail, mais à chaque fois j’adore ça.

Qu’est-ce que vous aimez à Londres ?
Me retrouver dans les puces, les petits cafés que j’affectionne à Notting Hill, les boutiques…

Ce que vous aimez chez les Anglais ?
Leur humour ! Et leur musique.

Y a-t-il des artistes britanniques qui vous ont influencée ?
Influencée non mais que j’ai admiré oui, la liste est longue, ils sont très forts ! Le rock, c’est ce qu’ils font le mieux.

- See more at: http://www.ici-londres.com/article/03/07/2013/vanessa-paradis--loiseau-rare/719#sthash.RzEpxBcr.dpuf

Merci Marina !

 

Interview Red Magazine - Août 2013

Before Johnny Depp, before Chanel, Vanessa Paradis’ first love was singing. As she releases her sixth album, she talks to Jude Rogers about love, Hollywood and why life is good – whatever the tabloids might have to say.

So, your partner has left. A younger beauty snatched him away. All the gossip hounds see now is the lonely 40-year-old ex of a beautiful, bankable actor. Game over, Vanessa Paradis. Or that’s how it’s meant to be.

It’s a warm Sunday afternoon in Paris, at the opulent Park Hilton hotel. This is the city where 'Joe le Taxi' first plied his trade, 26 – 26! – years ago, in a song that brought instant fame to the gap-toothed, gorgeous teenager singing it. Since then, Vanessa Paradis has won acting awards, been Chanel’s muse, had a 14-year relationship with Johnny Depp and released five albums. I’m here today to talk about her sixth.

This stunning 20-song extravaganza has a title to get tongues wagging: Love Songs. After all, since 1998, Paradis has been a character in her own love story. Today, we’re only a few minutes walk from Hotel Costes, where Depp first laid eyes on Paradis, and invited her over to his table. From there grew one of the entertainment industry’s most solid relationships, and two children, Lily-Rose, 14, and Jack, 11.

Twitter wailed when their split was announced last year, and rumours about Depp and his new girlfriend (actress Amber Heard) have been escalating ever since: they’re getting married (when Paradis and Depp never did), and Heard could be pregnant…
Paradis is rumoured to be a self-possessed, cold character – and today, she is late. Waiting in an extravagant suite, I’m prepared for a rarified ice maiden. And then the door opens. What I did not expect was the bounciness. The feistiness. The warm hug, and the motherly charm. Three hours later, on the Eurostar home, I pick apart our time together. Paradis gave me a masterclass in charisma and playfulness. Not what I expected at all.

She says things like this, devilishly, ‘Love is not just about butterflies and fairy tales. People are like, “Oh, the album is called Love Songs but they’re such dark songs.”’ Her eyes sparkle as she speaks. ‘And I say, “What do you think love is?” We’re not in a fairy tale. Nobody lives in a fairy tale.’

Paradis is intelligent, funny, delivers her sentences with bite – and, yep, she looks incredible. Apologising for the traffic as she bounds into the room, she asks me how my train journey was, like a caring mum, and then perches on the sofa. She’s dressed in a black velvet jacket, baggy vest and blue cords. I would look studenty in it; on her, it’s sheer elegance. Her hair is down and tousled. I tell her I’ve been a fan of her music for years. ‘Not just Joe Le Taxi, I hope,’ she winks.

Born in a Parisian suburb just before Christmas 1972 (‘I could not live without being here,’ she says, slapping her seat for emphasis, ‘I could not’), Paradis didn’t have a particularly unusual childhood, she says. But then she started singing.
‘And now that’s been a source of joy for me for so long. It fills you with such amazing vibrations – you change a little, you grow, you get completely inhabited when you sing. And anyone can!’

Her enthusiasm as she speaks is enrapturing – it inhabits you, too.

When she was 14, her record-producer uncle, Didier Pain, recorded her first single. Joe Le Taxi spent 11 weeks at number one in France, but it raised people’s tempers, too. Someone painted ‘slut’ on her house and she was spat at in the street, even though the song wasn’t salacious, and she wore baggy clothes in the video. ‘It was a very surreal time,’ she says, breathing out. ‘To go from a very normal upbringing to suddenly being judged, and having to justify yourself when you don’t really know who you are yet.’

She shrugs. ‘But I learnt a lot, very young.’ Her success mushroomed quickly in other fields. At 17, she won a César (the French equivalent of an Oscar) for the film Noce Blanche.
At 18, she played a caged bird swinging on a trapeze in that famous Chanel Coco campaign.
At 19, she scored another international hit, the retro-pop Be My Baby. ‘I can’t complain,’ Paradis laughs, cackling through that famous gap in her front teeth. ‘But I worked hard for it, you know?’ And then, six years later, along came Johnny.

On paper, it looks like Paradis’ career took a back seat after that. His career rocketed with the Pirates Of The Caribbean series; she only managed a handful of albums and films. ‘There was a slowdown for me, yes, but there was never a break.’

Suddenly, you sense Paradis’ robustness. ‘When people say, “How come you don’t have a career in Hollywood?”, I say, first of all, that doesn’t mean anything. I’ve been fortunate since day one to be able to choose what I want to do in my work, and with whom I do it.’ She raises an eyebrow. ‘And there’s good and bad in Hollywood, you know.’

But it’s clear that three years ago, Paradis’ productivity shot up. She put together a Best Of album, and made two successful films: acclaimed romcom Heartbreaker and Café De Flore, in which she plays the mother of a child with Down’s syndrome. Then came French singer-songwriter/ producer Benjamin Biolay, his dark hair and dark eyes reminiscent of someone else in Paradis’ life. He sent her eight songs, and she ‘fell in love with them all… and then more kept coming… and now I have a double album because I could not get rid of one!’

What about that provocative title? It came last, she says, and from Biolay – but she will not be drawn on any of my hints about him. ‘It’s a great title. So simple, taking a phrase we all know, and turning it around. These are up-and-down love songs, because that’s what love is.’

Then I ask what it’s like to sing New Year, which was co-written by Depp. A song about change and time, it includes the lyric, ‘The scars will heal and then what will remain... a mysterious design. A beautiful reminder of the pain.’ ‘It was written years ago,’ Paradis says, matter-of-factly, then talks about how Lily-Rose made up the first line. Paradis loves being a mum, she adds, but the kids don’t listen to her music. Lily-Rose loves American chart-pop, while Jack prefers rap and rock’n’roll. She’ll say no more about her children.

So I try, foolishly perhaps, to bring things back to their father. I ask if it feels good to be releasing a record showing the world who Paradis is and what she can do, rather than being seen in the shadows of her former partner.

Her reply is a masterclass of evasion, but the sass in it floors me. ‘You’re a journalist, so you live very much in the world of what’s been written, and what’s been said about me. I don’t engage with that.’ She leans forward. ‘I can’t. First of all, I don’t want to pollute myself and also I don’t have enough time. I’m a singer, an actress, a mum, you know what I mean? It really doesn’t interest me.’ And then she laughs. ‘But also there’s nothing I can do, I can’t shut people’s mouths! So, enjoy yourselves, everyone. Have a ball with it.’

I think about this proclamation on the way home – how fuck-you it sounds, and how strong it makes her. ‘It’s not like I’m lacking or missing something in my life, either,’ she added, as our time raced to an end. ‘Look at my life.’ She has a point.

But what is love to her, though? ‘It’s something for families and friends and for lovers,’ she says. She delivers her final line like a bullet. ‘It’s the most powerful thing that we have.’

Love Songs by Vanessa Paradis is out 22nd  July 2013

http://www.redonline.co.uk/red-women/interviews/vanessa-paradis


Rien de très original dans les questions mais ce journaliste a vraiment écrit un bel article!
Cette Partie : :love2: 

"You’re a journalist, so you live very much in the world of what’s been written, and what’s been said about me. I don’t engage with that.’ She leans forward. ‘I can’t. First of all, I don’t want to pollute myself and also I don’t have enough time. I’m a singer, an actress, a mum, you know what I mean? It really doesn’t interest me.’ And then she laughs. ‘But also there’s nothing I can do, I can’t shut people’s mouths! So, enjoy yourselves, everyone. Have a ball with it.’"

Dans Red Magazine

Meilleur livre - Lady L de Romain Gary, elle adore ses romans
Meilleure musique - Darondo, chanteur soul des annees 70 qu'elle vient de decouvrir
Meilleur anti stress - Chanter
Meilleur film - Chantons sous la pluie - depuis qu'elle est petite
Meilleur couturier - Lagerfeld et tout l'equipe chanel
Meilleur chose dans sa vie - Ses enfants - avec une petite photo d'elle et Jack (prise je pense l'ete dernier, la serie sur le bateau, mais je suis pas sure)

J'allaais le signaler ! Apercu a Florence mais pas achete. Desole.

C'est bien la peine d'être à florence et de ne pas en ramener !!!!! Je blague, je blague.

Tu as raison mais plus de sous. :(

C'était vraiment une blague de ma part, j'imagine qu'on a autre chose à acheter quand on part en vacances !!!!

Non j'aurais bien pu l'acheter mais on était a sec de monnaie liquide et pas envie de faire un retrait avec des frais.

http://www.vanityfair.it/people/mondo/13/07/16/vanessa-paradis-esclusiva-vanity-fair-fine-amore-johnny-depp

J'ai lu une traduction sur Deppography. Apparemment, elle ne regrette pas d'avoir rencontré JD et dit qu'ils ont été heureux, passé de merveilleuses années ensemble.

Tarduction Google :

Vanessa Paradis: "With Johnny (Depp) is over, but I would do it all over again"
The French actress and singer speaks for the first time in Vanity Make the separation

"When he finishes a love, you think back to the time we spent together, the taste of his lips, his sweat and his fever. Remember tenacious of his body indecent . " You Vanessa Paradis who, Plus d'amour lyrics (his last piece songwriter, contained in the double album of love songs Love Song, ed), sings a farewell. And for the first time, one year after separation by Johnny Depp and exclusively for Vanity Fair , which devotes the cover of the current issue on Wednesday 17 July, officially spoken of their farewell. " He knows what I really want at this time of transition? I moved to Italy. I want your sun, your colors, your joy. I'm fine, and if I make a budget of my first 40 years (have committed them on December 22, note) I can only congratulate myself. I had so much in life: success, love, two beautiful children. There is nothing of which I repent, I have no regrets, and if I could go back I would do it all over again. I was lucky to meet Johnny, to spend wonderful years with him. We were happy, and that I will never forget . " Needless to ask her to go into details. "Our separation was treated as if it were an affair of state. But Johnny has never been president, and I've never been first lady. I do not understand why we should explain to the world what has happened between us. We are not a model, we have a duty to lead by example. We are artists, and an artist only has the task to please his audience, for the space of a movie or a song " .

Your however, was a special case. Formavate a couple who many thought was perfect, and when they felt the desire to identify .
"We've been photographed together since we were together, we did normal things and we had the normal problems, like not love each other anymore. But I prefer to tell the future, not the past. "
In the future there is Fading Gigolo , the film by John Turturro. Really has seduced Woody Allen?
'I do not know if I could seduce him, certainly I tried. And not only on set, I followed him outside, around New York. Every week I went to hear him play the clarinet at the Carlyle, I talked about music, my songs, my passions. I had a great feeling with him. "
In New York, he had lived as a young girl.
What effect did it come back?
'Beautiful: is the city where I have always wanted to live. I was 19 when I got there the first time, I wanted to stay there forever, but it turned out that I lived there only three years. Why then I met Johnny, and fate made ​​me change direction.

Elle commence à accepter de parler de lui on dirait... :)

J'adore le titre !  

Il faut préciser aussi que Madame tourne...

Franchement la presse people me désespère de plus en plus!!! ^^

Comme si Closer avait ce qu'elle allait faire de ses vacances! (Surtout quelle est même pas en vacances --')
Daillers , je me demande si on va avoir droit à des photos sur le yacht cette année , je sais qu'il est en vente mais on a pas vraiment eu de nouvelles..

Oui, elle bosse aussi. Et, vraisemblablement, les enfants sont avec leur père pour le mois de juillet( une bonne partie du moins) et qu'elle va sans doute les avoir avec elle le mois d'après. Ils doivent bien trouver des arrangements.

On aura peut être la surprise de voir JD arriver à l'aéroport de Paris ? C'est pas interdit de rêver !!!

C'est vrai qu'on avait l'habitude de les voir sur leur bateau.

Je trouve l'angle d'attaque très surprenant pour un magazine people.
Au lieu de "VP passe ses vacances sans ses enfants", je m'attendais vraiment à "JD présente sa pouf à ses enfants".  

Si tu remarques, les titres intègrent toujours le nom de VP. C'est son nom qui est vendeur en France, semble-t-il.
Ce n'est pas "JD garde les enfants pour les vacances" mais "VP est privée de ses enfants". Elle est la victime et aussi sans doute celle qui intéresse le plus les clients de ces magazines.

Le malheur est toujours plus vendeur... racoleur !

ok ok..

ludi76 a écrit:

Si tu remarques, les titres intègrent toujours le nom de VP. C'est son nom qui est vendeur en France, semble-t-il.
Ce n'est pas "JD garde les enfants pour les vacances" mais "VP est privée de ses enfants". Elle est la victime et aussi sans doute celle qui intéresse le plus les clients de ces magazines.

C'est vrai que Paradis est un nom qui marche sur Radio Ragots.
C'est con, mais je la trouve vraiment très jolie sur la photo choisie en couverture.

Moi aussi!
Pour une fois qu'ils ne mettent pas une photo moche pour faire croire qu'elle est au bout de sa vie! 

MarinaSnape a écrit:

Moi aussi!
Pour une fois qu'ils ne mettent pas une photo moche pour faire croire qu'elle est au bout de sa vie! 

Excellent!! C'est un exploit mdr

Pour ceux ou celles que ça intéressent, il y a aussi dans ce magasine, un test " quel acteur est fait pour vous ": B. Pitt, Sacha Baron Cohen, G? Clooney ou J. Depp !!!

Lol j'adore ce genre de tests débiles, je serais curieuse de voir le résultat !! 

M'en parlez pas, hier au test "Quel est votre idéal masculin" dans un magazine, j'ai eu comme réponse : PPDA, Fabrice Luchini, Jean-Pierre Pernaud, etc... La déception sur mon visage.   

Pirategirl-38 a écrit:

M'en parlez pas, hier au test "Quel est votre idéal masculin" dans un magazine, j'ai eu comme réponse : PPDA, Fabrice Luchini, Jean-Pierre Pernaud, etc... La déception sur mon visage.   

Luchini, c'est pas mal.

C'est nouveau, ce mag ? je ne connais pas.

Je connais pas non plus!!

Il y a des affiches du Closer avec Vanessa partout dans ma ville ^^

merci Marina. ce qui m'accroche dans cette couv de march c'est surtout le beau visage de Bernadette Lafont. j'adorais cette actrice et suis très triste de sa disparition.

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