PRESSE PARADISIAQUE

Jolie , cette couv . J'espère qu'on pourra lire l'article alors :)

@lyssia: bon ben c'était marqué SAUF de JD haha

Un grand merci à Philou pour les scans!

philou le ouf a écrit:

Merci pour l'info.
Voici les scans

"Ah non, c'est personnel !"--elle se braque toujours à la moindre question!

Jolie couv'

Je peux la comprendre aussi , on ferait surement pareil à sa place , parler de sa vie privée à des journalistes n'est pas forcement super si on aime la discrétion comme elle .

On peut quand même être un minimum diplomate... d'autant que plus tu te braques, plus les journalistes vont chercher à savoir ce qui se cache derrière ce silence...
Et puis dans le cas présent, je vois pas ce qu'il y a de très personnel à dire ce qu'on aime comme musique ? C'est pas comme si on lui demandait comment elle faire l'amour ! LOL

Ouai mais bon... on la comprend...

Non, pas sur ce point.

Faut pas faire ce métier si c'est pour se braquer à la moindre question.

Ba pour certaines choses si. C'est sa vie privée, ils ont pas besoin de savoir

Citation :

y a quelque chose d’insaisissable chez Vanessa Paradis, un côté très «vous
ne m’attraperez pas». D’ailleurs, même si madame Coco Chanel habite la planète pop
depuis plus de 20 ans, elle protège toujours aussi farouchement son jardin secret.
Un vendredi matin, de sa résidence à Los Angeles, l’actrice de 38 ans me donne
un coup de fil. Je lui demande d’entrée de jeu comment elle fait pour rester si discrète,
malgré la curiosité de la presse people. Après tout, elle partage sa vie entre
la France et les États-Unis, deux pays particulièrement assoiffés par la vie des gens
riches et célèbres. Mauvaise amorce, comme en témoigne la retranscription de nos premiers échanges.
— Pourquoi faites-vous référence à ma vie amoureuse? s’étonne-t-elle. Vous êtes pourtant un magazine
de cinéma sérieux. C’est sérieux ce que vous écrivez, non? Je ne vois pas du tout pourquoi vous parlez de
ce genre de trucs. Je croyais que vous vouliez parler de cinéma.
— Je faisais référence à votre silence, que je trouve admirable, devant cette presse qui veut tout savoir. Je
n’avais pas l’intention de vous parler de votre vie conjugale. Je n’ai fait aucune référence à votre conjoint…
— Vous voyez? On a tout de même parlé de cela, même sans le vouloir. C’est fou. Et pourtant, c’est le
genre de trucs qui ne m’allument pas. Je ne prête pas attention à ce que les autres pensent de moi. Ça
m’est complètement égal, car de toute façon, je ne peux rien y changer. Les gens raconteront toujours
n’importe quoi à mon sujet.
— Et si on oubliait ce sujet pour parler de Café de Flore? Connaissiez-vous le travail de Jean-Marc Vallée
avant de jouer dans ce film?
Le ton s’adoucit immédiatement. «J’ai découvert le scénario de Café de Flore et Jean-Marc Vallée au
même moment. Je suis tout de suite tombée amoureuse du texte. J’ai été touchée, émue et ébranlée. Ce
que j’aime de l’univers de Jean-Marc, c’est qu’il évite tous les clichés. Il ne nous montre pas où et quand il
faut pleurer. Même si en fin de compte, nous allons tous pleurer.»
Après C.R.A.Z.Y. et Victoria - Les jeunes années d’une reine, Jean-Marc Vallée nous invite à la croisée
des chemins de Jacqueline (Vanessa Paradis en mère monoparentale parisienne) et Antoine (Kevin
Parent en DJ montréalais). Elle vit dans les années 1960 au cTmur de la ville Lumière. Il habite la métropole
québécoise d’aujourd’hui. Leur rencontre est à la fois toute naturelle et surnaturelle. Douce et amère.
Réconfortante et troublante. Un peu comme l’amour, quoi.
«Après le succès de L’ArnacTmur, j’ai compris que le public avait envie qu’on lui raconte des histoires
d’amour. Les gens ont besoin de ces fictions. J’en ai besoin aussi. Et Café de Flore est un si beau récit.

J’ai tout de suite su qu’il fallait que je participe à
ce projet.»
Jean-Marc Vallée confirme: «On lui a envoyé le
scénario et elle a beaucoup aimé. On s’est rencontré
et on a eu un coup de cTmur professionnel. Elle
m’a tellement parlé en bien du film et de son personnage
que je ne me suis pas posé de questions.
Je savais qu’elle était ma Jacqueline. Elle avait un
véritable désir de participer au projet et de jouer
ce personnage. Elle campe une mère touchante et
aimante, qui en arrive à aimer de façon maladive,
un peu excessive. C’est loin de l’image de bonté
qu’elle dégage avec la marque Chanel ou alors de
son image de rock star.»
Le plus grand défi de Vanessa Paradis? «Faire
un exercice d’humilité, poursuit le réalisateur. Se
révéler sans maquillage, sans coiffure. Elle ne portait
pas de maquillage dans la plupart des scènes.
On lui a même teint les cheveux en brun terne. Une
actrice de son âge qui accepte de faire ça, c’est très
généreux. Surtout pour une star de son calibre, qui
doit préserver une certaine image.»
Être en morceaux
Même si le tournage n’aura duré que 17 jours,
Vanessa Paradis en garde plusieurs souvenirs heureux.
«Jean-Marc et moi avons beaucoup tourné
dans les rues de Paris. Il se promenait avec sa petite
caméra à la main. On découvrait ensemble les
rues. C’était très beau et très simple. Je me souviens
aussi de cette journée où nous devions filmer à la
cathédrale Notre-Dame de Paris. On a dû se lever à
5 heures du matin pour tout filmer avant les messes
du matin. Tout dans ce lieu est si impressionnant.
C’était magique.»
Fidèle à son habitude, Jean-Marc Vallée a
ponctué ses journées de tournage de musique. Il
arrive souvent au cinéaste de faire écouter à toute
son équipe une chanson ou une mélodie. Il cherche
ainsi à donner le ton de la prochaine scène,
à créer une ambiance sur le plateau. «Je n’avais
jamais travaillé comme cela auparavant, souligne
Vanessa Paradis. C’est une technique souvent
utilisée par des producteurs de musique, mais pas
vraiment en cinéma.»
L’actrice a d’ailleurs pris l’exercice au sérieux:
elle a également suggéré l’écoute de quelques
refrains. Peut-elle nous donner un exemple de
sa sélection musicale? «Ah non, c’est personnel!
Disons seulement qu’il s’agissait essentiellement
de chansonniers français des années 1960.»
Au nom de la Rose
Puisque le film raconte des histoires parallèles et
que le tournage s’est déroulé sur deux continents,
l’idole française n’a pas eu l’occasion de jouer
avec les têtes d’affche d’ici, sauf une journée avec
Evelyne Brochu, qui l’a croisée sur le plateau à Paris.

L’actrice québécoise se souvient de leur rencontre:
«C’était la journée de mon anniversaire. J’étais
en train de me faire coiffer. Vanessa Paradis avait
vu les 10 premières minutes du film. Elle a reconnu
mon visage et a dit à Jean-Marc, en utilisant le nom
de mon personnage: «Tu me présentes Rose?» Ça
est tellement mieux passé que je ne l’aurais cru. Je
pensais être intimidée. Pour moi, elle est une icône
autant pour son style que pour son âme. J’admire la
façon dont elle s’exprime, s’habille, joue et chante.
Ça a été tout doux finalement. Je ne pouvais pas
demander un plus beau cadeau de fête. J’ai été très
honorée de faire sa connaissance.»
Vanessa Paradis a finalement rencontré tout le
reste de l’équipe de tournage lors de son dernier
passage à Montréal, en février, pour le Festival
Montréal en Lumière.
«J’ai vécu cette soirée avec beaucoup de bonheur, se souvient Paradis. Même si je rencontrais la
plupart des gens pour la première fois, c’était comme
d’immenses retrouvailles. J’avais l’impression
de connaître l’équipe depuis toujours.»
Une équipe qu’elle retrouvera ce mois-ci,
puisque Vanessa Paradis reviendra au Québec
pour défendre Café de Flore devant quelques journalistes.
En espérant qu’aucun d’entre eux ne lui
parle de Johnny Depp…

Citation :

Les journalistes me
demandent toujours de
choisir entre la musique et cinéma, s’étonne l’ex-Lolita
de la chanson française.
C’est un peu bête. Ce que
aime, c’est justement de pas avoir à choisir. J’aime
passionnément le cinéma,
mais je prends plus de temps
faire de la musique.
On lui fait remarquer que,
depuis toujours, elle a su entourer tant musicalement
Etienne Roda-Gil, Serge
Gainsbourg, Lenny Kravitz)
qu’au grand écran (devant
la caméra avec Gérard
Depardieu, Jean Reno, Jean-
Paul Belmondo, Alain Delon,
Daniel Auteuil). «Ça veut
simplement dire qu’on a les
mêmes goûts», dit-elle.
Jouer
double

http://mediafiles.cineplex.com/FamousMagazineArchive/SEPT2011/FR/LeMagzineCineplex_septembre2011.pdf

Non, franchement, elle est pas diplomate.

Je reconnais qu'elle y est allée un peu fort , au début elle a un peu envoyé sur les roses le journaliste qui n'avait rien dit de bien méchant. Je suppose quand même que ce doit être la crainte de se voir systématiquement poser des questions dérangeantes qui doit rendre un peu " parano " .

ELLE magazine (Canada)

Merci !

Merci !! :)

L'article était intéressant !!

merci!

Quel article ?

ludi76 a écrit:

Quel article ?

L'article posté au dessus par Mim!E

3 pages dans le magazine BE de cette semaine.

Elle dit que ses enfants vont aimer UN MONSTRE A PARIS et qu'ils ont une culture franco-américaine incroyable, qu'elle leur envie.
Ils aiment aussi leur père dans tous ses films.

C'est mignon tout sa

Elle US - Novembre 2011
Avec des photos inédites

Merci La Marinière!

Oh ! :-) Merci LaMarinière ! :-)

( en parlant de Vanessa, ton avatar est absolument superbe!!!! )

Qu'est-ce qu'elle est belle !

D'après ce que j'ai compris : couverture et interview dans La PARISIENNE.

Ouep!

Citation :

Voix d'une délicieuse chanteuse de cabaret dans le dessin animé Un monstre à Paris, Vanessa Paradis va continuer de faire le bonheur des salles de cinéma avec deux films qui sortiront au mois de janvier prochain, Café de Flore et Dubaï Flamingo. Passionnée par son métier d'artiste, que ce soit celui de comédienne ou de chanteuse - il se murmure que Benjamin Biolay serait aux manettes d'un prochain album -, la compagne de Johnny Depp a répondu à l'appel de La Parisienne, acceptant de poser pour une série de photos luxueuses, et se confiant à la journaliste avec sincérité, même sur sa vie privée, elle qu'on sait si discrète.


Dans Café de Flore, elle incarne une mère célibataire dans les années 1960 qui se bat plus que tout pour son fils trisomique : "Cette histoire m'a rappelé des choses très personnelles... Je ne peux pas vous raconter ma vie, mais entre les choses j'ai vécues perosnnellement et celles que j'ai vécues par amour pour mes amis, j'ai été emportée par ce scénario." Pour ce long métrage du réalisateur de C.R.A.Z.Y, Jean-Marc Vallée, elle s'est voulue aussi crédible que possible, avec des costumes sobres et très peu de maquillage : "Cela ne m'a posé aucun problème, je n'ai pas peur d'être laide." Ce qui l'importait, c'était d'être au plus près de ce personnage qui se laisse dévorer par son amour pour son fils, expliquant que : "Par définition, une mère est une femme qui vit la peur au ventre."

De nature secrète, Vanessa Paradis n'est pas du genre à s'étaler sur son existence, se laissant parfois à quelques commentaires. D'ailleurs, quand Johnny Depp avait un jour fait des confidences à la presse sur la maladie de l'une de leurs deux enfants, Lily-Rose, elle n'était pas contente. Même Marlon Brando - qu'il a dirigé dans son film The Brave - s'était fâché : "Qu'est-ce que tu fous bordel ? C'est pas leurs oignons !"

Puis dans un élan romantique, Vanessa Paradis parle de sa vision de l'amour : "L'idée d'âme soeur est magnifique et très romantique pour en parler dans une film ou dans une chanson, mais en réalité, je trouve ça flippant. [...] Pourquoi ne pas simplement se dire, c'est mon amour, c'est mon grand amour..." Elle s'avance même sur le sujet du mariage : "C'est romantique et la fête est sympathique, mais c'est un peu comme l'âme soeur : me dire que je sais où je suis et que je sais où je finirirai, je ne le conçois pas. [...] Je vois tellement de gens qui se déchirent dans mon entourage. Peu importe les cérémonies, j'ai la certitude d'aimer et de ne pas avoir envie d'autre chose."

Retrouvez l'intégralité de l'entretien dans La Parisienne, supplément du Parisien du 3 décembre.

http://www.purepeople.com/article/vanessa-paradis-l-idee-d-ame-soeur-je-trouve-ca-tres-flippant_a92214/1

J'ai du mal à la suivre sur ses considérations concernant l'amour... j'ai l'impression qu'elle se contredit ou que c'est pas clair dans sa propre tête...

Il ne finiront jamais de jouer avec son nom, n'est-ce pas? ça fait 23 ans qu'ils font des titres du genre: "Le Paradis de Vanessa", "Vanessa au Paradis" etc...

La photo est très belle en tout cas, merci!

ludi76 a écrit:

J'ai du mal à la suivre sur ses considérations concernant l'amour... j'ai l'impression qu'elle se contredit ou que c'est pas clair dans sa propre tête...

à quel moment se contredit t-elle?

Par rapport à d'autres interviews.

Merci La Marinière! Tu as été plus rapide que moi
J'ai ajouté l'article de Pure People car il contient des bouts de l'interview.

ludi76 a écrit:

Par rapport à d'autres interviews.

Oui, j'ai remarqué aussi. J'ai l'impression qu'une fois elle avait une idée plus romantique de l'amour, par rapport à ce qu'elle dit dans cette interview.

Oui, il me semble qu'elle avait dit dans une autre interview qu'elle croyait à l'âme soeur et puis la manière dont elle parlait de Johnny qui était fait pour elle, etc... c'était quand même un peu ça.
Et puis, là, elle dit qu'elle trouve ça beau dans les films mais flippant dans la vie. Je comprends pas pourquoi.

Et une fois de plus, il y a des choses bizarres dans cet article :
quand Johnny Depp avait un jour fait des confidences à la presse sur la maladie de l'une de leurs deux enfants, Lily-Rose, elle n'était pas contente.

Ah bon ????

Oui, on en savait rien de ça... ^

C'est vrai que Johnny avait dit quelques mots dessus alors que Vanessa ne voulait rien dire du tout mais "la Parisienne" exagère...

Lily-Rose à une maladie ?

c'est a dire que je crois qu'elle s'était griffée avec du fer et avait une infection, de la fièvre, ce n'était pas une maladie, juste un incident et il lui fallait des soins hospitaliers, ça peut-être fatale ce genre d'infection (tétanos ?) c’était pendant le tournage de Sweeney Todd à Londres, en 2007...et c'est totalement fini. 10 jours après elle sortait de l'hopital.

flavia a écrit:

c'est a dire que je crois qu'elle s'était griffée avec du fer et avait une infection, de la fièvre, ce n'était pas une maladie, juste un incident et il lui fallait des soins hospitaliers, ça peut-être fatale ce genre d'infection (tétanos ?) c’était pendant le tournage de Sweeney Todd à Londres, en 2007...et c'est totalement fini. 10 jours après elle sortait de l'hopital.

Non c'est pas vraiment ça, Flavia !
Elle a eu, d'après la presse, mais on n'a jamais su si c'était la vérité, une infection E-coli avec des problèmes rénaux et elle a failli en mourir !
En tout cas, Johnny avait dit dans une interview que ça avait été le pire moment de sa vie et qu'il ne souhaitait pas ça à son pire ennemi. Donc je ne crois pas que ce soit un simple "incident" comme tu dis...
Il a fait un don très conséquent à l'hôpital également quand elle est sortie.

On ne saura jamais ce qu'il s'est réellement passé mais ça devait être grave.

La suite de son problème était grave, ça je le sais, mais je ne savais pas que c'était du a la bactérie E.coli, l'incident c'était ce qu'elle s'était fait, ce que je croyait qu'elle c'était fait....et j'ai écris, je crois.............

Je sais aussi qu'il a remercier l’hôpital pour l'avoir sauvée....

Le Première qui va sortir mercredi ! ATTENTION LES YEUX !

Merci pour les précisions sur Lily-Rose et merci pour les photos La Marinière !

Je sens que la promo en France va être importante pour ce film. J'ai hâte !

C'est frustrant de ne pas avoir l'article et les photos de La Parisienne.

J'adore les photos de Première. En espérant que les prochaines couv( on aura droit au Elle je pense) soient comme celle ci.

Moi, aussi hate pour cette promo et ce film !!!!!

Oh là là faut que je me l’achète, je veux la suite de l'interview, je la trouve super, elle est bien menée...

Merci La Marinière!

aww j'adore celle où elle lève les bras. Merci beaucoup La Marinière!!

flavia a écrit:

Oh là là faut que je me l’achète, je veux la suite de l'interview, je la trouve super, elle est bien menée...

Merci La Marinière!

Elle est complète là. C'est juste que les pages ont été inversées.

Citation :

Rarement Vanessa Paradis aura été si présente sur les écrans de cinéma en l'espace de quelques mois. Avant Cornouailles le 18 avril 2012, elle sera à l'affiche des envoûtants Dubaï Flamingo le 11 janvier et Café de Flore le 25 janvier.

C'est pour ce dernier qu'elle se retrouve dans les pages de Numéro, entre deux photographies en noir et blanc. Alors que Café de Flore vient de rencontrer un beau succès au Canada, terre natale du réalisateur Jean-Marc Vallée (C.R.A.Z.Y.), l'actrice revient sur son désir de se jeter dans ce rôle fort : "J'aimais beaucoup le travail de Jean-Marc Vallée mais à la lecture du scénario, j'ai été complètement séduite, chamboulée. C'était un rôle que je n'avais jamais joué, très fort. Je ne me suis pas posé un tas de questions : je voulais incarner cette femme (...) Pour Jean-Marc, en revanche, ce n'était pas si évident : au départ, il ne me voyait pas tant que ça dans le rôle !"

Café de Flore est de ces films quasi-impossibles à décrire, plus proche de l'expérience que du divertissement. À partir d'un détail mystérieux, le scénario relie à travers les époques et les océans une mère célibataire dans le Paris des années 60, résolue à élever son fils trisomique pour lui assurer un avenir normal, et un DJ dans le Montréal contemporain, séparé de la mère de ses enfants et à nouveau amoureux.

Depuis sa présentation à Venise, Café de Flore poursuit discrètement mais sûrement son bout de chemin. Vanessa Paradis y trouve l'un de ses plus beaux rôles, loin de son aura glamour : "À la fois pour le personnage et à cause de ce que je véhicule, il fallait gommer toute séduction. (...) Par étapes, on a élagué de plus en plus : tous les artifices, tous les attraits. On a foncé mes cheveux pour me durcir le visage, je n'ai pas de maquillage, pas même de fond de teint."

À 38 ans, l'actrice, compagne de Johnny Depp (avec qui elle a deux enfants), chercherait-elle à se réinventer au cinéma avec des rôles forts ? "J'ai toujours eu envie de ça. Mais je pense que le fait d'avoir un autre métier par ailleurs joue : ma vie ne tourne pas autour des rôles que je peux avoir ou pas. (...) Si j'étais "uniquement" comédienne, l'envie de tourner avec tel ou tel cinéaste pourrait être un moteur suffisant. Mais là, je n'ai le temps que de faire des films pour lesquels je m'enflamme."

À l'approche des fêtes de Noël, Vanessa Paradis ouvre enfin une petite page nostalgie et revient sur son amour de la comédie musicale, ces films qu'elle "buvait littéralement des yeux" le soir à la télévision. Un âge d'or hollywoodien aujourd'hui disparu, qu'elle a effleuré dans Atomik Circus, le film déjanté des frères Poiraud où elle chantait dans un trou paumé. De quoi rêver de tourner avec Christophe Honoré, le cinéaste français le plus musical du moment depuis Les chansons d'amour et Les bien-aimés ? "Ce sont plus des films en chansons que de la comédie musicale. Mais j'aime son cinéma et j'adorerais jouer et chanter dans un de ses films. Il suffirait qu'on y danse encore peu plus, et cela serait vraiment parfait." À bon entendeur.

Retrouvez l'interview de Vanessa Paradis dans Numéro, décembre 2011.

http://www.purepeople.com/article/vanessa-paradis-ma-vie-ne-tourne-pas-autour-des-roles-que-je-peux-avoir_a92400/1

J'aimerais bien la voir dans un film de Christophe Honoré! ^

Merci pour les scans de Première, vraiment sublime ce photoshoot! :love2:

Beaucoup de mal a le trouver le Première avec Vanessa, plutôt des Daniel Craig beurk....